Teny iditra tonga
Sokajin-teny matoanteny mpamaritra
Fanazavàna teny malagasy Mby eo amin' ny toerana iray naleha: Tonga tany Antsirabe tamin' ny sivy i dadatoa
Manjary: Tonga mpanankarena lahy ilay zazalahy kely faniraka fahiny!
Mody: Tongava nofo, tompoko, ny sakafo kely narosonay ho anao!
Nentina avy amin' ny toerana iray ho eo amin' ny toerana iray: Tongako daholo ny zavatra nohafaranareo. / Indro tongako eto anatrehanareo ireo olona nasainareo nalaiko
Mitovy hevitra: avy ~ mby ~ miantefa ~ mingadona ~ tafahatra ~ tafapaka ~ tafita ~ tamy ~ tody ~ tohatra [1.1]
Fanazavàna teny anglisy Arrived [1.7]
Fanazavàna teny frantsay Arrivé [1.8]
Haiendriteny 
Ny ankehitriny : tonga, tongako, tonganao, tongany, tongantsika, tonganay, tonganareo, tongan', tongan-, tongam-
Ny lasa : tonga, tongako, tonganao, tongany, tongantsika, tonganay, tonganareo, tongan', tongan-, tongam-
Ny hoavy : ho tonga, ho tongako, ho tonganao, ho tongany, ho tongantsika, ho tonganay, ho tonganareo, ho tongan', ho tongan-, ho tongam-
Filaza mandidy : tongava
Sampanteny 
Kamban-teny 
Ohabolana 
Sary 

Teny iditra tonga
Sokajin-teny anarana
Fanazavàna teny frantsay  [Mahafaly, Sakalava] Charme, talisman qui fait arriver à bon port, à destination. Relevé par Leandri et Faublée. Ce nom est aussi donné aux plantes qui entrent dans la composition du philtre, notamment : Stachytarpheta jamaicensis (L.) Vahl (Verbenaceae). Espèce devenue pantropicale. Ses feuilles sont utilisées en infusion théiforme et passent pour avoir des propriétés médicinales dans de nombreux pays [1.196]
Anarana siantifika Stachytarpheta jamaicensis
Voambolana 

Teny iditra tonga
Sokajin-teny anarana
Fanazavàna teny frantsay  [Tanosy] (qui permet d'arriver à bon port, surtout pour les navigateurs ; dans son sens général ce mot signifie : arrivé, qui a atteint son but). Nom relevé par Flacourt dès 1661, avec le graphie « tongha » ; mentionné aussi dans le vieux dictionnaire de Froberville et d'autres auteurs anciens. Toujours utilisé à Fort Dauphin. Catharanthus roseus (L.) G. Don (Apocynaceae). Cette espèce indiscutablement d'origine malgache (il en existe des variétés endémiques au cap Sainte-Marie, à l'extrême Sud de l'île) a été répandue dans tout le monde tropical par les navigateurs nomades proto-malgaches bien avant notre ère. Aucune pirogue ne partait pour la haute mer sans avoir à son bord un pied de cette plante. Outre son rôle de talisman, on en mâchait les feuilles car elles sont anorexiantes et coupe faim. Cette dernière pratique a été à l'origine de la réputation anti-diabétique de la plante. On sait que c'est en voulant tester son activité hypoglycémiante que les équipes de Noble, d'une part, et de Svoboda, d'autre part, montrèrent son étonnante action leucopéniante. (Voir Boiteau et Poitier : « La prospection des Plantes Médicinales », Courrier du C.N.R.S. n° 14, Octobre 1974, p. 19-23). Depuis 1955, cette plante a fourni, entre autres alcaloïdes, la vinblastine et la vincristine couramment utilisées aujourd'hui dans la chimiothérapie des leucémies, des hématosarcomes et de la maladie de Hodgkin [1.196]
Anarana siantifika Catharanthus roseus
Voambolana 

Teny iditra tonga
Sokajin-teny anarana
Fanazavàna teny frantsay  [Bara] (qui permet d'arriver à bon port, surtout pour les navigateurs ; dans son sens général ce mot signifie : arrivé, qui a atteint son but). Catharanthus longifolius Pichon) Pichon (Apocynaceae) est, par extension, désigne sous ce nom, bien que cette espèce n'ait jamais été embarquée à bord des pirogues. Elle ne pousse que dans les montagnes entre 800 et 1 400 m d'altitude [1.196]
Anarana siantifika Catharanthus longifolius
Voambolana 

Fivaditsoratra 

Nohavaozina tamin' ny 2023/06/27