Teny iditra tavy
Sokajin-teny anarana
Fanazavàna teny malagasy Menaka mivaingana fotsy izay miraikitra amin' ny nofo; sabora: Tavin-kena [1.1]
Sampanteny 
 
Tohi-kevitra 
Kamban-teny 
Anaram-javamaniry 
Mpanahaka  lamy ~ jabora ~ matomperina ~ menaka ~ sabora

Teny iditra tavy
Sokajin-teny anarana
Fanazavàna teny malagasy Fanatazan-drano maloto avy nisasana na ny fivalanana: Tavin-drano
Lakan-kely fampihinanana vorona na kisoa; kilany: Tavin-kisoa
Vakivakim-bilany na vilia: Tavim-bilia [1.1]
Fanazavàna teny frantsay Bac, auge, récipient, cristallisoir [1.13]
 Bassin, grande cuvette [1.196]
Kamban-teny 
Ohabolana 

Teny iditra tavy
Sokajin-teny anarana
Fanazavàna teny malagasy  [Taisaka] Kapa ala atao tanimbary [1.78]
  [Bara] tanimbary [1.78]
  [Tanala] Kapa ala hanaovana tanimbary na tanim-boangazo (tany mangahazo) [1.78]
 Fomba fanaon' ny mponina akaikikaikin' ny morontsiraka amin' ny fambolem-bary: kapainy ny ala, dia dorany ary ny tany voazeziky ny lavenon' ala no fafazany vary
Ny tanimbary an-tanety izay volena rehefa avy nodorana ny ahitra teo aminy [1.1]
Fanazavàna teny anglisy Slash and burn agriculture; the fields so cultivated [1.7]
Fanazavàna teny frantsay Champs cultivé par l'abattage et le feu [1.8]
 (régions forestières de l'Est). Mode de culture du riz de montagne. Elle consiste à choisir une parcelle de forêt ombrophile, à abattre les principaux arbres à l'époque relativement peu pluvieuse, novembre-décembre, puis à mettre le feu. Sur l'épaisse couche de cendres ainsi obtenue, il suffit alors de semer les variétés convenables de riz. Les riz de montagne ont des exigences écologiques très différentes des riz de rizière. Les façons culturales sont inutiles. On n'a pas besoin de labourer. Ni de sarcler puisqu'il n'y a pas de graines d'espèces adventices. Cette pratique qui remonte à des millénaires en Asie du Sud-Est a été amenée par les premiers immigrants qui ont tenté de gagner les régions montagneuses, à une époque certainement très ancienne ; bien que postérieure à l'arrivée des premiers nomades marins dont les seules cultures étaient des plantes multipliables par bouturage : taro, igname, formes archaïques du bananier (Musa acuminata). Tant que la population est peu nombreuse, organisée en clans dont les chefs de terre expérimentés savent respecter le patrimoine forestier, le tavy ne cause pas de gros dommages. Les parcelles défrichées sont rapidement réenvahies par la forêt ombrophile. Mais lorsque la structure du clan se désagrège et surtout lorsque les cultures vivrières, le tavy devient rapidement une pratique très destructive. La forêt n'a plus le temps de se renouveler ; l'humus est détruit ; l'érosion entraîne la partie fertile du sol et très rapidement les terres deviennent stériles. Des dizaines de milliers d'hectares de terres sur les pentes orientales ont déjà été rendues impropres à la culture par cette pratique. [1.196]

Teny iditra tavy
Sokajin-teny anarana
Fanazavàna teny frantsay (Surtout sur la côte Nord-Ouest) (de tavy : graisse ; nom donné aux graines oléagineuses et, par extension, aux arbres qui les produisent).
[Sakalava, Tankarana] Dombeya tavia Arènes et Sterculia tavia Baill. (Malvaceae). Réf. Service Forestier 3215. Voir aussi tavia [1.196]
Anarana siantifika Dombeya tavia, Sterculia tavia
Voambolana 

Teny iditra tavy
Sokajin-teny anarana
Fanazavàna teny frantsay (surtout sur la côte Sud-Est) (de tavy dans le sens de bien rempli, boursouflé). Noms des fruits charnus, succulents et des arbres qui les produisent. Voir par exemple tavebotreka. [1.196]
Voambolana 

Fivaditsoratra 

Nohavaozina tamin' ny 2023/06/26