Teny iditra asemi
Sokajin-teny anarana
Fanazavàna teny frantsay , vol. 7, n° 2-3, p. 209 (1976), une fois graissé avec du suif, le talisman, pour être opératoire, doit être tenu avec les deux mains au-dessus d'une coupelle en terre cuite (appelée fanemboka) où brûle une résine odorante. Les deux mains de l'opérateur sont alors dans les mêmes positions que pour la prière ( toka). Fumée et parfum symbolisant l'entrée en communication avec le monde surnaturel, toujours réputé « parfumé ». La résine utilisée est souvent celles des arbres de la famille des Burseraceae, des genres canarium et protium, tout au moins pour les circonstances les plus solennelles. [1.196]
Voambolana 

Nohavaozina tamin' ny 2020/07/31